Je suis fatigué de tout cela, et la fatigue emporte mon âme très loin. La prose pour ce soir, je ne la promet que très peu joyeuse, la musique berce mon âme endormie afin qu'elle ne rêve pas trop. Il est dure de retenir les larmes, et je les retiens j'ai finis par me maitriser, même si peu a peu cela m'empeche a contenir de l'exterieur l'impacte sur les gens. Les soupçons s'éveille, le passé remonte, les souvenirs envahissent mon espace, et finalement sourire faussement en devient impossible.

.Impossibilité ?.

Dans la mesure du possible, franchir là l'impossible, Se dire alors que tout qui restait placide, que le monde aujourd'hui décide. La vie a fait de nous ses chiens, On a d'elle un lien, elle nous l'offre bien, et ne nous demande rien. Elle prend nos vies, Nous laisse ainsi, et elle en rit, et pas que cette fois-ci. Dans l'impossibilité d'y remedier, nous on s'est agenouillé, on a tous finit par prier, Le moment où elle se lasserait, et finirait par tous nous tuer.

.Nuit prolongé.

On s'est tous endormi, finalement tous dans nos lits, falcifié par la vie. Comme oublié, Ce à jamais, Le monde disparait, Notre fin enfin arrivé. Le chant de la vie est placide, et le mien, mon chant se ternit. Il perds ses couleurs sa joie et son envie. Il n'attend plus, il a perdu tout espoir. Mon chant se fait rare, inexistant. Il ne se fait plus entendre, au final mon coeur ne chante plus. Je voudrais vous le dire, tout ce que je ne peux que soupire. Je suis seule sur mon chemin, mais je l'ai voulu, c'est comme ça, mes textes n'ont plus de sens.

.Fatigue.

Et je fatigue
Et Je m'endors
Et je rêve
Et je me reveille
Et je m'endors
Et je rêve
Et je me reveille...

Sur ce, Bonne nuit. :) que la joie vous emporte loin des berges de la fatigue.

Quand viendra l’heure

Je serais là pour t’aimer encore

Et toujours la saveur

De te savoir tout à moi alors.

A la lueur de nos rêves

Je serais ton mentor

S’il est un jour

Le serment qui répare nos torts.

Quand viendra l’heure. (bis)

Ne doute pas.

Si par hasard je pensais

Ne plus tenir la corde

Quand viendra l’heure, je serais

Là pour t’aimer encore.

Il y a trop longtemps, que seul,

Je marchais dehors 

Sans jamais croire à ces anges

Qui veillent au sort.

Quand viendra l’heure. (x 3)
Si par hasard je pensais

Ne plus tenir l’accord

Quand viendra l’heure je serais

Là pour t’aimer encore.

A la lueur de nos rêves

Je serais ton mentor

S’il est un jour

Le serment qui répare nos torts.

Quand viendra l’heure. (bis x 3)

Quand viendra l’heure.

Quand viendra..

Si par hasard tu pensais

Ne plus tenir la corde

Quand viendra l’heure je serais

Là pour t’aimer encore.

Quand viendra l’heure.

Ne doute pas.

.Feel.

Il y a une petite sensation en moi, comme une sensation de désarroie. Cette chose inexplicable en tout point peut être traduit par le mot "Déception" car en effet je suis habité d'une deception tellement grande et grandissante a chaque chose que je lis, que j'entend, chaque chose que j'apprend, me rendant plus deçu encore que la précédente nouvelle.

.Hole.

C'est comme dans un tee shirt, il y a un petit trou, et vous, intrigué, vous y passez votre doigt, alors ca aggrandi le trou, et finissant par être trop grand, l'envie de déchiré le tee shirt devient insoutenable. Ca devient marrant de jouer avec le trou sur le tee shirt, et de l'aggrandir encore et encore inlassablement jusqu'a ce que vous en ayez marre, et que vous finissiez par déchiré le tee shirt, dans l'entiere totalité, pour qu'il n'en reste finalement plus que deux tissus séparés ne ressemblant plus à rien.

.Picture.

Ben c'est pareil dans mon coeur, j'ai l'impression d'avoir un petit trou, que les gens s'amuse a aggrandir avec leurs mots et leurs reproches, tranchants, des mots tuants, tout les mots sont dangereux s'ils sont mal employé, Des mots pour faire sourire, mal employé, font souffrir. Alors C'est marrant je trouve ça Tellement intriguant que je les laisse finalement faire, pour voir a quel resultat ca va mener ce petit jeu peut-être qu'il finiront par me déchiré comme le tee shirt, en deux morceaux méconnaissable.
Amusant ?

Peut-être...

.She just said, she was good.

Appréhende les journées qui arrivent, celle qui se font, et celle qui passe. J'aimerais pouvoir m'envoler très loin et être oublier du reste du monde, celui qui m'ignore avec tant de facilité, et qui se souvient de moi uniquement quans ca l'arrange.
J'aimerais que le monde regarde dans la direction qu'il faut, qu'il ouvre les yeux et se disent enfin que finalement la vie, quand elle est faites en communauté c'est tellement mieux et tellement plus beau et facile.

.De la merde.

Je m'etale et ce que je dis c'est de la merde. Tout simplement parce que depuis que tu es parti en vacances je n'arrive plus a ecrire, je sais pas tu es parti avec mon âme, mon esprit mon coeur même ! Je n'ai plus aucune inspiration pour ecrire, tu es parti et je me sens tellement plus vide, tellement plus seule que jamais, je n'attend patiemment que ton retour pour enfin me sentir revivre, car je me rend compte seulement qu'a ton depart que sans toi, tout devient tellement insignifiant autour de moi. Je suis fatigué d'attendre tu me manques et c'est terriblement dure de tenir loin de toi, et dieu seul sait ce que j'aimerais être dans tes bras et pouvoir partager avec toi tout l'amour que je te portes, c'est indéniablement immense et sans limite. Seulement ton départ a fondé un vide en moi bien plus grand que je l'aurais immaginé quand même... et ca me fait peur, j'ai peur qu'a ton retour, tu ne te sois rendu compte que finalement c'est pas moi que tu aimes, que tu te sois apperçu que je ne te manquais pas plus que ça, ou bien qu'en revenant tu t'apperçoive que je ne sois pas celle avec qui tu as envie d'être.
Tout cela me terrifie, me fige, me fait cauchemarder, tout cela me fait peur, j'ai peur de te perdre a chaque nouvelle journée qui debute où je sais tu sera entrain de faire quelque chose de bien et d'amusant, et je n'arrive pas a m'imaginer une journée sans pensée a toi, je n'y arrive pas... impossible.

.Est-ce cela l'amour ?

Se rendre compte lorsque tu es loin de moi, que c'est plus dur au final? se rendre compte que finalement sans toi je ne suis pas reellement quelqu'un, qu'avec toi je pourrais faire le monde, mais sans toi je suis incapable de soulever le moindre rocher qui puisse être en travers de ma route..
J'aimerais que tu realises à quel point tu fais mon bonheur, et je t'en prie ne me dit pas que tu ne me mérite pas, cesse ce genre de blabla inutile, utilise tes mots a bonne esciant, j'ai envie que tu comprenne que j'ai envie que tu sois celui qui me merite, que tu ES celui qui me mérite, et que c'est avec toi que j'ai envie de faire un petit bout de chemin... Car nous avions commencer a faire du chemin, puis l'on s'est separé avons pris deux chemins separés, et nous voilà de nouveau sur le même chemin...

.Qu'en est-il des autres ?

Tout cela me fait oublier les tracas quand tu es là, les autres, ceux qui peuvent bien pourrir ou tenter de pourrir l'environnement de ma vie, se heurte vite a un mur de métal, béton armé, construit par le bonheur que tu m'offres, et par ce que tu m'apportes un peu plus chaque jour.

.Ca Parait gnan gnan, non ?

Owi, mais si c'est ça l'amour alors je veux dire et vivre ces choses encore et encore... tous les jours même si les autres pense que je crois encore au conte de fée, c'est juste que j'ai trouver mon prince. Et que tu es l'actuel detenteur de mon coeur.
Ohlala ce que je dis parait tellement tout fait...
Le point ou je ne voulais absolument pas aboutir, celui de la routine, et de la ressemblance avec toute les autres paroles des filles qui disent a leur copain au bout de la premiere semaine "Tu es l'homme de ma vie chéri, je veux qu'on se marie"
Je refuses catégoriquement d'adhèrer a ce genre de replique tout droit tiré des "feu de l'amour" je refuse de ressembler a toutes ces filles, qui croit que la vie est faites de rose d'eau fraiche et d'air pure.
Mes paroles semble simmilaire aux leurs, c'est une illusion...

.Croyez-le

...Ou non...

[ She loves you and she wants you to know that she has so much things to tell you... Trust Her ]

Je ne vous dis pas bienvenue.
Je ne vous souhaite pas bonne visite.
Car si vous êtes tombés ici,
c'est sûrement pas par pur hasard, mais bien par bien belle malchance.
Si tu es un courageux de la lecture, tu es peut-être bien tomber dans ce cas, car ici tu en auras, malgré que je ne te promettes pas de magnifique chose, juste des choses qui viennent du coeur, rien de plus.
Si par contre toi et la lecture ça fait 24 000 au minimum, tu peux de suite repartir, tu n'es largement pas dans ton élément petit zèbre égaré. Ici T'es sur le territoire des moutons.
Le Troupeau des cheval en pyjama, c'est la pièce a côté, mais merci de ta visite.

Sans rancune, Bien à vous, Madame la Moutonne.